dimanche 22 mars 2009

Encre de Chine et craie le dernier de la série...mars 2009

Et voilà j'arrête la série noir et blanc sur celui-ci :

Et si la "vie silencieuse" s'était transformée en un groupe de musiciens africains ...???

Encre de Chine et craie série 3 mars 2009







samedi 14 mars 2009

encre de Chine et craie série 1 mars 2009
















et voila le prétexte aux exercices qui vont suivre ...


Je suis partie de cette "vie silencieuse" point de départ , m'en inspirant puisqu'il faut partir de quelque chose pour mieux s'en éloigner.

Garder son essence mais aussi trouver la sienne propre à travers des expressions , des écritures différentes...se dépasser, aller plus loin, oser...


outils : calam, plume, pinceaux, chiffon mouillé

matières : encre de Chine, craie.

dimanche 8 mars 2009

Vies silencieuses.... encre de chine 1 et 2 mars 2009




Les hollandais ne parlaient pas de" nature morte" mais de "vie silencieuse"...



vendredi 6 mars 2009

Giorgio Morandi







"Tout est un mystère, nous-mêmes ainsi que toutes les choses à la fois humbles et simples. ”



Giorgio Morandi





Né à Bologne à la fin du XIXe siècle, Giorgio Morandi étudie à l’Ecole des Beaux-Arts de sa ville natale. Dès 1910, l’artiste a défini son style. La découverte de l’œuvre de Cézanne, puis celle des fresques des peintres du Quattrocento (Giotto, Piero della Francesca, Uccello, Masaccio) sont déterminantes. Peu après Morandi fait la connaissance des peintres futuristes italiens et se joint à eux lors de plusieurs expositions. Il est enrôlé dans l’armée d’Italie et, rapidement blessé, subit alors une crise profonde.Après la guerre, Morandi découvre la « peinture métaphysique » de Giorgio de Chirico et Carlo Carrà : il développe leur concept, en y ajoutant une forte dose de poésie. Les natures mortes qu’il peint alors révèlent une « intégrité impénétrable comme un corps céleste » (Brandi).Dans les années 1920, Morandi semble s’éloigner des courants picturaux d’avant-garde auxquels il s’était associé plus jeune, et se renferme sur lui-même, pour ne peindre plus que les éléments de son intérieur physique et mental. Peu d’événements, en dehors de son professorat à l’Ecole des Beaux-Arts de Bologne et de diverses expositions internationales, ponctueront désormais la vie de l’artiste, qui se retranche dans la peinture. Morandi ne peut être clairement identifié à une école de peinture spécifique. L’œuvre de Cézanne représente son influence majeure : il lui emprunte la monumentalité des formes et les zones denses de couleur. L’artiste développe une approche intime de l’art qui, guidé par une sensibilité formelle d’un grand raffinement, donne à ses paysages et à ses natures mortes une subtile délicatesse de ton et de dessin, suscitant chez le spectateur un mode contemplatif, réminiscence de l’œuvre de Piero della Francesca et de divers artistes de la Renaissance italienne. Exerçant une grande influence sur les artistes italiens de la seconde moitié du XXe siècle, Giorgio Morandi meurt à Bologne en 1964, à l’âge de 74 ans.





Exercices à venir autour du travail de cet artiste.