jeudi 31 décembre 2009

LIEN D 'AMOUR

Je suis la jolie idée d'Anne reliée par Pomme, Blue Bird et les autres....Je vous ai deja mis ce lien mais envie de vous le remettre encore....

CLIQUEZ ET MONTEZ LE SON !

http://vimeo.com/moogaloop.swf?clip_id=2539741_

mercredi 16 décembre 2009

à votre libre reflexion...

http://www.dailymotion.com/video/xbh0a0_la-lettre-sans-papier_news

Recomposition... huile déc 2009



Un fragment de Miro, une pomme de Cézanne, un morceau de l'Angélus de Millet et d'autres encore...


isoler, décomposer, faire un lien... recomposer...

samedi 12 décembre 2009

Tagg



J'ai été taguée par Anne : http://cametriturealorsjencause.blogspot.com/ voici mon gage : je dois vous faire 7 confidences sur moi parmi lesquelles un mensonge...à vous de le trouver et ensuite je passe le tagg à trois personnes...


1) Je deteste l'ananas et l'anis !


2)Je n'ai toujours pas réussi à arrêter de fumer...


3) En 2010 mon chemin de vie continue autrement : je dois aller au bout de moi et me rencontrer vraiment...


4) Je fuis l'intolérance sous toutes ses formes.


5) J'adore les gens qui ont des vies lisses et sans histoires.


6) J'aime découvrir des univers différents et aller à la rencontre de l'autre.


7) J'adore les bons petits plats et les bons vins...




Je tague à mon tour 3 personnes....









et je triche un peu car j'ai envie de voous faire découvrir ces 2 autres blogs :

Christophe : http://leparoux.blogspot.com/


M'enfin :http://unjourviendracouleurdorange.blogspot.com/

et qui a été taggué tagguera....

dimanche 29 novembre 2009

Visite à Bram Van Velde... huile/collages nov 2009


Une dernier exercice pour terminer cette série...

Collage sur la feuille, d'une photocopie couleur (déchirée en deux cette fois et repositionnée) d'une oeuvre de Bram Van Velde.

Humble visite toujours...et rencontre tourbillonnante !

Bram Van Velde





Très jeune abandonné par son père, Bram van Velde connaît dans son enfance une misère terrible qui le marquera profondément. Très tôt initié à la peinture, il travaille dans une firme de peinture de décoration, tout en étudiant la peinture ancienne au Mauritshuis de La Haye. Il reçoit le soutien de la famille de collectionneurs Kramers, pour laquelle il travaille, et qui lui permet de voyager en Europe pour approfondir sa connaissance de la peinture. En 1922 il se rend à Munich ; la rencontre des peintres expressionnistes près de Brême est déterminante dans son orientation vers la peinture moderne. Van Velde s’installe ensuite à Paris, où il rencontre ses premiers succès et découvre les œuvres de Matisse et Picasso, et se lie d’amitié avec Samuel Beckett. Les années 1930 sont pour lui difficiles : installé en Espagne avec sa première épouse qui décède très jeune, van Velde connaît la guerre civile espagnole ; de retour en France, sa qualité de citoyen néerlandais rend son séjour compliqué. C’est au terme de cette période que l’artiste trouve son réel langage plastique. Mais, éprouvé par la terreur de la guerre, van Velde cesse toute activité picturale de 1941 à 1945. Ses expositions après-guerre se soldent par des échecs.Ce n’est que dans les années 1960, alors qu’il s’est installé à Genève, que l’artiste connaît une certaine reconnaissance et influence une partie des artistes de l’expressionnisme abstrait. Il retrouve la galerie d’Aimé Maeght en 1973, vingt ans après en avoir été congédié, et reçoit des commandes de peintures murales. Il décède en 1981 à Grimaud, près de Saint-Tropez, à l’âge de 86 ans.


dimanche 15 novembre 2009

Visite à Hans Hartung.... huile/collage novembre 2009


Sur le même principe encore...et en toute modestie toujours...


Hans Hartung








"Quant à moi je veux rester libre, d’esprit, de pensée, d’action. Ne pas me laisser enfermer par les autres ni par moi même."


Hans HartungHans Hartung, peintre français d'origine allemande, naît le 21 septembre 1904 à Leipzig. Il décède le 7 décembre 1989 à Antibes.

Très attiré par la nature et la religion, Hartung s’enthousiasme pour Rembrandt, Goya, Franz Hals, le Greco, puis, en 1921 et 1922, pour Corinth, Slevogt et les expressionnistes allemands, en particulier pour Kokoschka et Emil Nolde. En copiant certaines oeuvres comme le "Tres de Mayo" de Goya, l'artiste supprime progressivement l’image pour ne plus laisser apparaître qu’un jeu de taches et de tensions. En 1922, il peint toute une série d’aquarelles qui, en 1966, feront l’objet d’un album de reproductions préfacé par Will Grohmann. Celles-ci sont suivies en 1923-1924 d’une série de fusains et de sanguines.Un besoin impérieux de connaissance amène Hartung à suivre les cours des Académies des Beaux-Arts de Dresde de 1925 à 1926 et de Munich en 1928, délaissant ainsi l’enseignement du Bauhaus, trop rigide à ses yeux pour lui permettre de développer sa création en toute liberté.
Hans Hartung réside à Paris de 1926 à 1931 et découvre le cubisme et le fauvisme. De nombreux voyages lui permettent de découvrir la peinture européenne dont il apprécie particulièrement l’impressionnisme, le fauvisme et le cubisme. Copier les oeuvres qui l’intéressent, notamment de Paul Cézanne et du cubisme, lui semble le moyen idéal pour en assimiler les richesses plastiques, ce qui le conduit à étudier de manière approfondie les rapports entre l’esthétique et les mathématiques (proportions, rythmes, couleurs).En 1929, Hartung épouse une artiste d’origine norvégienne, Anna-Eva Bergman. Sa première exposition personnelle a lieu à la galerie Heinrich Kühl de Dresde en 1931.Après un bref séjour à Berlin et aux îles Baléares, il s’installe définitivement à Paris en 1935 pour échapper au régime hitlérien avec l’aide de Christian Zervos et de Will Grohmann. Lors de son installation à Paris en 1935, il rencontre pour la première fois des artistes défenseurs comme lui de l’art abstrait, ce qui le conforte dans ses recherches menées jusqu’alors dans l’isolement. Pourtant, le détachement absolu avec le sujet de la représentation donne à ses oeuvres une identité qui les posent en décalage avec les recherches esthétiques menées par ces artistes.Il se lie d’amitié avec Henri Goetz et Jean Hélion. Ce dernier lui fait rencontrer Vassily Kandinsky, Domela, Joan Miró et Alexander Calder. Des difficultés financières l’obligent à demander à Henri Goetz de l’héberger. Le sculpteur Gonzalez lui offre de travailler dans son atelier : là Hans Hartung s’initie à la sculpture.Sa volonté de lutter contre le nazisme le conduit à se porter volontaire pour combattre dans la Légion étrangère. Prisonnier, il est interné quelque temps dans un camp de concentration, avant de rejoindre à nouveau la Légion en Afrique du Nord. Blessé, Hartung est amputé de la jambe droite.La galerie Lydia Conti à Paris lui consacre une première exposition personnelle en 1947, puis, en 1948, présente un ensemble de ses dessins réalisés entre 1922 et 1948. Après la seconde guerre mondiale, au moment où l’abstraction devient l’enjeu d’une reconsidération esthétique, Hartung rencontre une renommée internationale. Il est reconnu comme l’un des maîtres d’une peinture qui ne concède rien à l’abstraction géométrique.Plusieurs musées à l’étranger lui consacrent une rétrospective. Il participe à la première Documenta à Kassel en 1955, et en 1957, une importante exposition itinérante sillonne l’Allemagne (Stuttgart, Berlin, Hambourg, Nuremberg et Cologne). Au cours des années, sa production se développe : estampes, peintures, dessins, photographies.1960, année charnière à plusieurs titres, est aussi celle de sa consécration : il est lauréat du Grand Prix international de peinture à la Biennale de Venise.Un souci constant d’expérimentation caractérise sa pratique artistique, ce qui le mène à partir des années soixante à faire usage de nombreux outils, tels les pistolets, stylets, larges brosses et rouleaux, pour "agir sur la toile", renouvelant ainsi sa conception de l’acte de peindre. C’est le début d’une nouvelle période dans son oeuvre avec des grattages dans la peinture encore fraîche.Hans Hartung s’ouvre aussi à l’utilisation de vinyliques et d’acryliques, matériaux permettant une rapidité d’intervention plus importante. Cette nouvelle méthode de travail va engendrer une production en séries se déployant régulièrement sur les trente dernières années. Sa peinture se détermine alors par l’affirmation du processus comme élément premier à même d’engendrer le langageplastique auquel il est fidèle depuis les années 20. Le Musée national d’art moderne de Paris lui organise une rétrospective en 1968 de plus de 250 oeuvres dont une partie est ensuite exposée au Museum of Fine Arts de Houston, aux musées du Québec et d’Art contemporain à Montréal. Ses oeuvres de grand format sont exposés à la Fondation Maeght en 1971.Le couple Hartung-Bergman s’installe à Antibes en 1973. Cette installation dans une propriété dont il a conçu les plans de la maison et des ateliers lui permet de déployer son art sur des très grands formats. "Le Champ des Oliviers" abrite aujourd’hui la Fondation Hans Hartung et Anna-Eva Bergman.En 1975, le Metropolitain Museum à New York lui consacre une exposition personnelle de 27 de ses oeuvres récentes de grand format. En 1976, Hartung publie aux éditions Grasset "Autoportrait", un livre de souvenirs. Le musée d’Art moderne de Darmstadt qui ouvre ses portes, en 1984, présente dans ses collections permanentes onze peintures de Hartung, dont plusieurs ont fait l’objet d’une donation par l’artiste.En 1989, Hartung est élevé à la dignité de Grand Officier de la Légion d’Honneur par le Président de la République. Il fête son 85ème anniversaire dans les salles de son exposition au Musée d’Unterlinden à Colmar. Pendant les trois dernières années de sa vie, Hartung s’est profondément renouvelé pour offrir une ultime période de création. Il décède le 7 décembre à Antibes. Selon ses voeux, dispersion de ses cendres dans la Méditerranée.L’oeuvre de Hans Hartung, dont la force de renouvellement est constante, s’inscrit dans l’histoire de la modernité par les composantes esthétiques qui la détermine."J’aimais mes taches. J’aimais qu’elles suffisent à créer un visage, un corps, un paysage. Ces taches qui, peu de temps après, devaient demander leur autonomie et leur liberté entière. Les premiers temps je m’en servais pour cerner le sujet qui, lui, peu à peu, devenait négatif, blanc, vide et enfin simple prétexte au jeu des taches. Quelle joie ensuite de les laisser libres de jouer entre elles, d’acquérir leur propre expressivité,leurs propres relations, leur dynamisme, sans être asservies à la réalité." Hans Hartung

mercredi 11 novembre 2009

Visite à Robert Motherwell... huile/collage nov 2009


Même exercice que le précédent : en partant d'une photocopie en couleur de Robert Motherwell collée sur le support papier...
Jouer avec les rouges, les gris, les blancs, les noirs....
Je vous présente cet exercice en toute modestie encore...

Robert Motherwell







Peintre américain né en 1915. Dans les années 1930, Robert Motherwell fait des études brillantes de philosophie à Stanford et Harvard, puis suit des cours de peinture à la California School of Fine Arts de San Francisco et des cours d’histoire de l’art à Columbia University, auprès de Meyer Schapiro. Ce solide bagage théorique lui permettra d’élaborer une œuvre très riche. Sa première exposition personnelle a lieu dès 1939. L’année suivante, il s’installe à New York. Après un voyage en Europe où il rencontre les surréalistes, Motherwell expérimente l’écriture automatique. En 1944 il expose ses premières peintures abstraites et ses collages dans la galerie de Peggy Guggenheim. Il devient dès lors l’un des artistes phares de l’expressionnisme abstrait américain et de l’Ecole de New York, aux côtés de Jackson Pollock, Marc Rothko, Willem de Kooning et Philip Guston. Choqué par la guerre d’Espagne, l’artiste répète dans son œuvre le thème de l’enfermement : dans ses toiles abstraites, les taches ovales et les motifs géométriques noirs et blancs, puis colorés, sont toujours resserrés entre des barres verticales. Motherwell ne dénie pas à ses œuvres une signification psychanalytique, le noir représentant « la mort et l’angoisse », le blanc, « la vie et l’éclat ». A partir de 1967, il décline dans la série Open, de très grands formats colorés, une théorie poétique sur le vide métaphysique.Robert Motherwell meurt à Provincetown en 1991, à l’âge de soixante-seize ans.

dimanche 1 novembre 2009

Visite à Christian Boltanski.. huile/ collage octobre 2009


En partant d'une oeuvre de Christian Boltanski, (photocopie couleur déchirée et collée sur la feuille), l'intégrer dans une peinture personnelle en y exprimant le ressenti que l'oeuvre originale nous inspire...

Cette installation représentant des photos d'enfants comme un reliquaire, m'évoque forcément l'injustice, l'innaceptable, l'intolérable de l'holocauste... une grande tristesse aussi.
Cette installation très forte dans sa mise en scène s'associe pour moi au chaos...
Voici donc en toute modestie encore l'exercice de ma visite à cet artiste...

Je n'ai pas retrouvé la reproduction de la photocopie utilisée pour vous la présenter, Je vous engage à aller découvrir cet artiste par le biais des différents articles qui lui sont consacrés sur le web

Christian Boltanski





Christian Boltanski, photographe, sculpteur et cinéaste, est surtout connu pour ses installations. Né à la fin de la Seconde Guerre mondiale dans une famille juive, l'artiste restera marqué par le génocide juif et les thèmes de la disparition et de la mémoire teintent son œuvre d'une grande mélancolie.Il commence à peindre en 1958 des scènes d'histoire ou des personnages macabres. Boltanski s'éloigne de la peinture à partir de 1967 et expérimente l'écriture, par des lettres ou des dossiers qu'il envoie à des personnalités artistiques. Il intègre à son œuvre des éléments issus de son univers personnel, et sa propre vie devient le thème principal de son œuvre.Pourtant tout n'est pas univoque dans l'œuvre de Boltanski, et l'artiste reconstitue des épisodes d'une vie qu'il n'a pas vécue. La notion de "mythologie individuelle" (titre d'une de ses expositions en 1972) prend alors tout son sens. Les installations de Boltanski sont une accumulation de souvenirs sacralisés, vrais ou faux, qui provoquent chez le spectateur une émotion intense et le font méditer sur le temps et les êtres. Marié à l'artiste Annette Messager, Christian Boltanski est aujourd'hui reconnu comme l'un des principaux artistes contemporains français. Il vit et travaille à Malakoff.

samedi 17 octobre 2009

Visite à Nicolas De Staël... huile collage papier octobre 2009




Consignes à l'atelier :" Continuer le tableau inachevé "le concert"de Nicolas De Staël" en partant d'une photocopie couleur collée sur la feuille...
Après différents mouvements comme : impossible de modifier cette oeuvre... de quel droit ?...etc...
Je me suis laissée tenter par l'irresistible envie d'entrer dans ce tableau en toute modestie...

Cet exercice n'est qu 'un jeu , un pretexte pour peindre...J'ai adoré le faire ; timidement d'abord, sur la pointe des pieds entrer dans cette toile, la regarder différement, la visiter et en ressortir aussi...

Je regarde aujourd'hui "le concert" autrement...J'apprécie plus encore ce tableau et son grand fond rouge qui envoute qui aspire celui qui s'y arrête...
J'y ai même entendu de la musique...
Rénica

samedi 3 octobre 2009

Nicolas de Staël 1914-1955


Nicolas de Staël né le 5 janvier 1914 à Saint-Pétersbourg, mort le 16 mars 1955 à Antibes (il repose toutefois dans le cimetière de Montrouge), fut un peintre français originaire de Russie dont la méthode le rapproche d'un sculpteur, où même le noir était lumière, et la texture unique de ses toiles ont exploré des lignes de force inédites.


Le père de Nicolas de Staël était vice-gouverneur de la forteresse Pierre et Paul à St-Pétersbourg jusqu'en 1917. Sa famille est contrainte à l’exil en 1919 en Pologne après la révolution. Les parents de Nicolas de Staël y meurent. Orphelin, il est confié par sa marraine à une famille de Bruxelles, les Fricero, en 1922. Il étudie à l'Académie royale des Beaux-Arts de la Ville de Bruxelles, et, en cours du soir, à l'Académie des Beaux-Arts de la Commune de Saint-Gilles-lez-Bruxelles. Il suit les cours dans la même classe que Willy Anthoons. Dans les années 1930, il voyage à travers l'Europe, vit à Paris 1934 et au Maroc 1936 (où il rencontre sa compagne, la peintre Jeannine Guillou, qui apparait dans ses peintures de 1941 et 1942). Il rejoint la Légion étrangère en 1939 et est démobilisé en 1941.
Il vit alors à Nice où il rencontre Alberto Magnelli, Jean Arp, Sonia Delaunay et Robert Delaunay qui inspirent ses premières peintures abstraites, les Compositions. En 1943 (sous l'occupation nazie), De Staël retourne à Paris avec Jeannine; ces années de guerre sont très difficiles (Jeannine meurt en 1946). Il rencontre alors Braque et une première exposition en 1944 avec Kandinsky et Magnelli attire sur lui la critique. Il connait un grand succès aux États-Unis et en Angleterre au début des années 1950 mais en 1953 une dépression l'isole dans le sud de la France puis à Antibes), où il se suicide en se jetant de la fenêtre de son atelier en 1955.
La carrière de de Staël s'étale sur 15 ans à partir de 1940 et sur plus de mille œuvres, influencées par Cézanne, Matisse, Picasso, Fernand Léger et Chaim Soutine, aussi bien que par les maîtres néerlandais Rembrandt, Vermeer et Hercules Seghers.
A partir de 1942, de Staël rompt avec la peinture classique, figurative, pour une abstraction radicale. Pendant dix ans, il travaille une pâte sur-nourrie d’huile, l’alourdissant ou l’allégeant, à l’aide de couteaux, de truelles ou même de taloches à mortier (Grand Parc des Princes, 1952). Ces épaisseurs et ces opalescences se trouvent parfois rassemblées, comme éléments de la composition, dans une seule toile (Ciel à Honfleur, 1952).
Après avoir vu le match France-Suède au parc des Princes en 1952, il peint la série des Footballeurs.
Puis il revient à la fluidité du pinceau, à la dilution de l’huile étalée au coton ou à la gaze, et la matière de ses toiles, d’accidentée et rugueuse, se fait de plus en plus légère, impalpable. Elle se dissout comme dans son ultime toile : le Concert (peinture inachevée).

dimanche 27 septembre 2009

Ballade parisienne dans le 19ème... sept 2009

Je vous emmène pour une ballade colorée dans le 19ème , en passant par le quai de la Loire, les petites rues adjacentes, le parc des buttes Chaumont pour finir par la rue de la Mouzaîa.
Ballade le nez en l'air par une belle après-midi d'automne...