Ton tableau me parle... Rouge de la douleur comme de la passion... Notre chemin : le choisit-on ? Pas toujours ! En tous cas, il vaut mieux agir que subir... Et le temps est un allié précieux. J'aime ce point de vue de loin, cette clairière au sortir de la forêt hiératique, inquiétante et torturée !
El Duende : Oui je crois que chacun choisi son chemin et c'est certain qu'il ne faut pas subir et savoir changer de cap si on fait fausse route... Pouet Muette : Merci. Au bout de ce chemin il y a surement le printemps...
Je pense que l'amitié peut aisément se passer de support mais pas de signes. Ainsi, ce matin je t'envoie ce poème extrait d'un livre écrit par la fille de Michelaise,souvent présente sur mon blog et qu me l'a envoyée:
Un lotus d'espoir éphémère Vibre de vie, vibre d'espoir. Un lotis d'amour éphémère vibre d'enfance, vibre d'amour
Hélène Naudon
Mise en maux Mai 2005
Puisque le Chemin des Grands Jardins a fermé sa barrière, il reste encore beaucoup de moyens d'y entrer. Regarde, tous les oiseaux du ciel continuent à y chanter, par exemple.
Je publierai de petits textes, ici et là sur les blogs. Tu es la première à m'accueillir. Je t'embrasse en toute amitié.
Je suis touchée en plein coeur Roger, merci pour cette délicate attention, ce joli poême. Tu as raison j'entends les oiseaux, tu sais ,ceux qui chantent avant le lever du jour. Que ton chemin croise les étoiles et soit fait de jolies rencontres...Je t'embrasse moi aussi.
Choisir son chemin, chemin de ronde, sentier escarpé, là où les cœurs, de tant battre de concert, ont battu en retraite par peur de la vertigineuse plongée vers des jours plus heureux… ou écrire son chemin avec les mots qui donnent des couleurs à la vie ?...
Choisir son chemin est l’oscillante par excellence… Celle devant laquelle tant d’esprits se sont enfiévrés, tant de choses ont fini par se révéler… Choisir son chemin, c’est vivre…
@J.Earthwood : Grande question n'est-ce pas ? Qui ne se la pose à un moment "carrefour" de sa vie ? Certains chemins sont lisses et tracés d'avance pour certains comme une continuité qui rassure ; pour d'autres les chemins seront plus tortueux et aventureux. Il y a les chemins de la raison, les chemins de traverse aussi...Il faut trouver le sien et y mettre les couleurs de la vie...Je suis d'accord avec toi ! bizzz
Eh bien voilà, j' ose... je viens tardivement, tu effaceras si tu veux et je comprendrai , je ne t' en voudrai pas, je m' en voudrai.J' ose te dire que j' ai vu grandir ta peinture, enfant prodige qui devient déesse épanouie, oh non le printemps n' emporte pas les braises à la croisée des chemins car une flamboyante beauté n' a pas fini de bourgeonner dans la sève qui teinte les troncs grâciles.
@ Orfeenix : Tu as bien fait de venir, je t'attendais.... la porte est tjrs ouverte ici. Oui la sève... Merci pour ce joli com qui me touche Isabelle je vais oser aussi !
La palette y joue, certes, mais dans un autre contexte, elle n'eût pas donné cet effet, à elle seule...cette mélancolie vient du sujet traité, de cet homme qui s'éloigne, de ce paysage dépouillé...et du côté inachevé, qu'il ne faut, à mon avis, plus toucher. Cette toile....est finie inachevée. Une touche de plus, et tout se déséquilibrerait. Ce serait dommage !
J'aime beaucoup cette toile. Qui me rappelle celles d'un autre artiste de ma région, et que j'avais envie de copier... (hou pas beau). Je ne peins plus, je suis paresseuse...
18 commentaires:
Ton tableau me parle... Rouge de la douleur comme de la passion... Notre chemin : le choisit-on ? Pas toujours ! En tous cas, il vaut mieux agir que subir... Et le temps est un allié précieux.
J'aime ce point de vue de loin, cette clairière au sortir de la forêt hiératique, inquiétante et torturée !
Superbe cette toile! Ce sentier nous appelle à le suivre.
El Duende : Oui je crois que chacun choisi son chemin et c'est certain qu'il ne faut pas subir et savoir changer de cap si on fait fausse route...
Pouet Muette : Merci. Au bout de ce chemin il y a surement le printemps...
Je pense que l'amitié peut aisément se passer de support mais pas de signes. Ainsi, ce matin je t'envoie ce poème extrait d'un livre écrit par la fille de Michelaise,souvent présente sur mon blog et qu me l'a envoyée:
Un lotus d'espoir éphémère
Vibre de vie, vibre d'espoir.
Un lotis d'amour éphémère
vibre d'enfance, vibre d'amour
Hélène Naudon
Mise en maux
Mai 2005
Puisque le Chemin des Grands Jardins a fermé sa barrière, il reste encore beaucoup de moyens d'y entrer. Regarde, tous les oiseaux du ciel continuent à y chanter, par exemple.
Je publierai de petits textes, ici et là sur les blogs. Tu es la première à m'accueillir.
Je t'embrasse en toute amitié.
Roger Dautais
Je suis touchée en plein coeur Roger, merci pour cette délicate attention, ce joli poême. Tu as raison j'entends les oiseaux, tu sais ,ceux qui chantent avant le lever du jour. Que ton chemin croise les étoiles et soit fait de jolies rencontres...Je t'embrasse moi aussi.
de la tourmente dans certaines toiles et pourtant une grande justesse. cela me touche
Choisir son chemin, chemin de ronde, sentier escarpé, là où les cœurs, de tant battre de concert, ont battu en retraite par peur de la vertigineuse plongée vers des jours plus heureux… ou écrire son chemin avec les mots qui donnent des couleurs à la vie ?...
Choisir son chemin est l’oscillante par excellence…
Celle devant laquelle tant d’esprits se sont enfiévrés, tant de choses ont fini par se révéler…
Choisir son chemin, c’est vivre…
@J.Earthwood : Grande question n'est-ce pas ? Qui ne se la pose à un moment "carrefour" de sa vie ? Certains chemins sont lisses et tracés d'avance pour certains comme une continuité qui rassure ; pour d'autres les chemins seront plus tortueux et aventureux. Il y a les chemins de la raison, les chemins de traverse aussi...Il faut trouver le sien et y mettre les couleurs de la vie...Je suis d'accord avec toi ! bizzz
@ Emmanuel : merci de ton com et bienvenue ici.
Eh bien voilà, j' ose... je viens tardivement, tu effaceras si tu veux et je comprendrai , je ne t' en voudrai pas, je m' en voudrai.J' ose te dire que j' ai vu grandir ta peinture, enfant prodige qui devient déesse épanouie, oh non le printemps n' emporte pas les braises à la croisée des chemins car une flamboyante beauté n' a pas fini de bourgeonner dans la sève qui teinte les troncs grâciles.
@ Orfeenix : Tu as bien fait de venir, je t'attendais.... la porte est tjrs ouverte ici. Oui la sève... Merci pour ce joli com qui me touche Isabelle je vais oser aussi !
L'hiver a semble t-il éte rude.Heureusement il y a toujours un printemps.Le soleil revient et tes toiles s'agrandissent.
Bzzz
@ Christophe : oui rude la fin de cet hiver !
Mais tu as raison le printemps est là et mes toiles s'agrandissent oui c'est vrai...est ce un signe ?
Terriblement mélancolique, cette toile, avec quelque chose d'inachevé.....toi, tu as prononcé un adieu, récemment.....
Mélancolique, à cause de la palette presque monochrome peut être ? Je crois que tu as raison pour le côté inachevé...
La palette y joue, certes, mais dans un autre contexte, elle n'eût pas donné cet effet, à elle seule...cette mélancolie vient du sujet traité, de cet homme qui s'éloigne, de ce paysage dépouillé...et du côté inachevé, qu'il ne faut, à mon avis, plus toucher. Cette toile....est finie inachevée. Une touche de plus, et tout se déséquilibrerait. Ce serait dommage !
@ Anne : elle restera ainsi...
J'aime beaucoup cette toile. Qui me rappelle celles d'un autre artiste de ma région, et que j'avais envie de copier... (hou pas beau). Je ne peins plus, je suis paresseuse...
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