Criblée de dards, cette femme (on le reconnaît à sa croupe)au dos tourné me regarde de travers. Que me veut-elle ?
Elle donne dans le jaune et l'orange... citronnade ? Non que je me moque; son ossature m'estomaque.
Elle m'entraîne plus bas, vers l'ancre de Chine: quel voyage !
Je fuis comme je fuis Je suis fête comme ça J'aime Prévert qui lui a su rester vert malgré les décennies, comme plusieurs peintures le seront, qu'elles seront-elles ?
Reliquat d'un temps futur ? Qu'en sais-je ?
Je ne suis pas un comment taire. J'en dis trop, le contraire de Gandhi. Un ticket s'ils vous plaît, je m'abonne à ton blogmusée qui saura m'inspirer c'est selon les saisons le temps qui charcute tout.
Fermons donc centres d'achats téléviseurs et ouvrons les barres de nos désirs secrets où plumes pinceaux seront nos maîtres.
On réouvrira les salons de lecture de la comtesse de Ségur pour enfin découvrir les joies de l'inspiration sans la transpiration.
Alors je suis hors sujet car moi j' y ai vu un homme en or un peu accablé par le temps qui passe!En tout cas ce n' est pas une fleur, mais on prend quand même!sans vouloir être triviale, très belle chute de reins.
Karl Chaboum : Woaw quelle énergie !....merci pour ce joli "comment taire" (surtout pas) très volubile mais c'est Fille du feu qui a raison : c'est un homme...enfin je le croyais... Je suis ok pour fermer centres d'achats et téléviseurs... A très bientôt
Fille du feu : oui c'est un homme bien charpenté...
Quelle controverse filles de feu pour une mousculature or !
Venez dans les centres d'achats de ma région; vous verrez des hommes aux muscles menus et des femmes à la carrure d'une charrue !
L'art est hors norme, sans carcan. On peut se tromper et avoir raison. Donnez-moi un pinceau, j'en ferai une massue. Au moins qu'on s'y retrouve dans les formes. Surréalisme, oui. Jeter de l'encre sur les murs, laisser sécher, encadrer et vendre un prix de fou: pour moi c'est carrément de l'infantilisme professionnel. Même en cadeau, cela n'entrerait pas dans ma maison.
Côté pratique avant qu'on enregistre un commentaire: quand on arrive en bas de page, on clic et le rouleau se déroule: Balzac aurait aimé, pour sûr.
J'éteins la lumière, sinon on dira que j'abuse de l'espace.
Peut importe si c'est un homme ou une femme effectivement ...c'est vrai ce que dit karl ...J'ai pensé peindre un homme : il s'est dessiné ainsi sous les poils de mon pinceau apportant questionnement et confusion .De toute façon il ne m'appartient pas, il est ce qu il renvoit à chacun... je ne sais pas ce qu 'il pense non plus... bon dimanche
Rénica, cela faisait longtemps que je n'étais pas venue vous rendre visite, c'est toujours un plaisir, j'aime cette toile, cette passagère, du temps et du vent, lentement, nous passons, sommes de passage, laissons quelques traces, comme le temps qui passe, à bientôt
Cher Karl Chaboum, mes goûts assez classiques font que j' aime bien savoir à qui j' ai affaire! avec ou sans muscles!Rénica tu es conciliante mais tu ne me feras pas passer un homme pour une femme! amitiés à tous.
Voilà qui pose, en image -et quelle image !- ma devise : Ad Lucem semper (toujours vers la Lumière) ! Inspirée, chère Rénica... oui, INSPIREE ! Emotion ! Je vous embrasse. Gilles
16 commentaires:
Criblée de dards,
cette femme (on le reconnaît à sa croupe)au dos tourné
me regarde de travers.
Que me veut-elle ?
Elle donne dans le jaune et l'orange... citronnade ?
Non que je me moque;
son ossature m'estomaque.
Elle m'entraîne plus bas,
vers l'ancre de Chine:
quel voyage !
Je fuis comme je fuis
Je suis fête comme ça
J'aime Prévert
qui lui a su rester vert
malgré les décennies,
comme plusieurs peintures
le seront, qu'elles seront-elles ?
Reliquat d'un temps futur ?
Qu'en sais-je ?
Je ne suis pas un comment taire.
J'en dis trop,
le contraire de Gandhi.
Un ticket s'ils vous plaît,
je m'abonne à ton blogmusée
qui saura m'inspirer
c'est selon
les saisons
le temps qui charcute tout.
Fermons donc centres d'achats
téléviseurs
et ouvrons les barres
de nos désirs secrets
où plumes pinceaux
seront nos maîtres.
On réouvrira les salons de lecture
de la comtesse de Ségur
pour enfin découvrir
les joies de l'inspiration
sans la transpiration.
Alors je suis hors sujet car moi j' y ai vu un homme en or un peu accablé par le temps qui passe!En tout cas ce n' est pas une fleur, mais on prend quand même!sans vouloir être triviale, très belle chute de reins.
Karl Chaboum :
Woaw quelle énergie !....merci pour ce joli "comment taire" (surtout pas) très volubile mais c'est Fille du feu qui a raison : c'est un homme...enfin je le croyais...
Je suis ok pour fermer centres d'achats et téléviseurs...
A très bientôt
Fille du feu : oui c'est un homme bien charpenté...
Les couleurs sont chaudes,l'homme a l'air costaud et pourtant replié sur lui même voir accablé.Force et faiblesse...
Christophe : oui force et faiblesse les hommes aussi...biz
Un homme, un femme, je me suis tout de suite vue, reconnue là, parce que c'est notre douloureuse et formidable condition. Quel tableau, Renica!!!
Lourd de quelles réflexions cet homme un instant arrêté, comme figé dans l'incertitude du chemin à prendre ?
Belle peinture Rénica
Quelle controverse filles de feu pour une mousculature or !
Venez dans les centres d'achats de ma région; vous verrez des hommes aux muscles menus et des femmes à la carrure d'une charrue !
L'art est hors norme, sans carcan. On peut se tromper et avoir raison. Donnez-moi un pinceau, j'en ferai une massue. Au moins qu'on s'y retrouve dans les formes. Surréalisme, oui. Jeter de l'encre sur les murs, laisser sécher, encadrer et vendre un prix de fou: pour moi c'est carrément de l'infantilisme professionnel. Même en cadeau, cela n'entrerait pas dans ma maison.
Côté pratique avant qu'on enregistre un commentaire: quand on arrive en bas de page, on clic et le rouleau se déroule: Balzac aurait aimé, pour sûr.
J'éteins la lumière, sinon on dira que j'abuse de l'espace.
Encre, Fille de l'eau, Karl :
Peut importe si c'est un homme ou une femme effectivement ...c'est vrai ce que dit karl ...J'ai pensé peindre un homme : il s'est dessiné ainsi sous les poils de mon pinceau apportant questionnement et confusion .De toute façon il ne m'appartient pas, il est ce qu il renvoit à chacun... je ne sais pas ce qu 'il pense non plus...
bon dimanche
je repasse plus tard chère rénica !
moi j'y vois un homme qui essaie de se débarrasser de sa peau craquelée pour retrouver une certaine jeunesse oubliée !
Rénica, cela faisait longtemps que je n'étais pas venue vous rendre visite, c'est toujours un plaisir, j'aime cette toile, cette passagère, du temps et du vent, lentement, nous passons, sommes de passage, laissons quelques traces, comme le temps qui passe, à bientôt
Karine : va savoir !? en tous cas j'aime bien comment chacun(e) y va de son imagination...bizz
Cher Karl Chaboum, mes goûts assez classiques font que j' aime bien savoir à qui j' ai affaire! avec ou sans muscles!Rénica tu es conciliante mais tu ne me feras pas passer un homme pour une femme! amitiés à tous.
Voilà qui pose, en image -et quelle image !- ma devise : Ad Lucem semper (toujours vers la Lumière) !
Inspirée, chère Rénica... oui, INSPIREE !
Emotion !
Je vous embrasse.
Gilles
Castor : à moins que ça ne soit le temps qui laisse des traces....
Karl Chaboum : Fille du feu est connaisseuse...
Gilles : Ad lucem Semper oui allons y !
je vous embrasse
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