J' y vois,une citadelle inaccessible protégée par sa falaise comme des douves,et dont il faut écarter un barrage d'arbre pour l'entr'apercevoir.Une sorte de hâvre chargé de mystère et de souvenir...merci de nous avoir raconté une jolie histoire:-)
En Arles, une tablée d'amis à l'heure de l'apéro, à l'abri des regards indiscrets... C'est la fin de la journée, en été, une trainée de Mistral, douceur de vivre ...
Et Vincent connut Arles... Une fenêtre close, l'autre ouverte sur les mystères de soi ! Les fenêtres, chère Renica ! Et... le ciel ! Le sien, de soleil fou, roulait comme un tambour dans les airs de Provence... le vôtre, de feuillages denses, déferle sur une silhouette blanche percée de deux fenêtres, l'une close, l'autre ouverte sur les mystères de soi ! Là est le vrai voyage. Merci, chère rénica. Gilles
C'est "marrant"... 12 ans que j'y vais une fois l'an (au moins), et j'avais vu Arles plus lumineux(se) et ensoleillé(e)... Merdalor, j'aurais du demander le programme Arles par temps de pluie... On m'aurait menti? Mais par temps de pluie, de nuit, dans un tunnel, c'est peut-être beau aussi... Presque.
9 commentaires:
J' y vois,une citadelle inaccessible protégée par sa falaise comme des douves,et dont il faut écarter un barrage d'arbre pour l'entr'apercevoir.Une sorte de hâvre chargé de mystère et de souvenir...merci de nous avoir raconté une jolie histoire:-)
En Arles, une tablée d'amis à l'heure de l'apéro, à l'abri des regards indiscrets... C'est la fin de la journée, en été, une trainée de Mistral, douceur de vivre ...
Adonis et Vemaca j'aime bien les histoires que cette peinture vous raconte...Quelles autres histoires possibles encore ?
Une maison sous les arbres
Où le vent vêtu de vert
Parle à l'oreille des feuilles
***
Merci pour votre passage et vos mots sympathiques
Une maison de vacances pour tous les jours.Elle est chaleureuse.C'est encore l'été.
Et Vincent connut Arles...
Une fenêtre close, l'autre ouverte sur les mystères de soi ! Les fenêtres, chère Renica ! Et... le ciel ! Le sien, de soleil fou, roulait comme un tambour dans les airs de Provence... le vôtre, de feuillages denses, déferle sur une silhouette blanche percée de deux fenêtres, l'une close, l'autre ouverte sur les mystères de soi !
Là est le vrai voyage.
Merci, chère rénica.
Gilles
C'est "marrant"... 12 ans que j'y vais une fois l'an (au moins), et j'avais vu Arles plus lumineux(se) et ensoleillé(e)... Merdalor, j'aurais du demander le programme Arles par temps de pluie... On m'aurait menti? Mais par temps de pluie, de nuit, dans un tunnel, c'est peut-être beau aussi... Presque.
C'est vrai que c'était une lumière entre chien et loup...le soir...mais pas dans un tunnel !Désolée pour le soleil !
Très joli blog que le votre et vos oeuvres sont splendides.
Bonne journée à vous
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